Trois ans aprés la de Jean-Philippe Smet, dit Johnny Hallyday, né le 15 juin 1943 et mort le 5 décembre 2017, la monnaie de paris édite deux minisets pour lui rendre hommage. Cette fois, c'est un Johnny Hallyday jeune qui est choisi.
Sur ce 2ème miniset, le visuel montre le chanteur en voiture
L’ère yéyé et les années folles du rock (1961–1966)
Il devient l’idole d’un mouvement appelé "les yéyés", une génération d’artistes influencés par le rock anglo-saxon.
Parmi ses tubes de l’époque :
"Viens danser le twist" (1961)
"Retiens la nuit" (1962, paroles de Jean-Loup Dabadie, musique de Georges Garvarentz)
"L’idole des jeunes" (1962)
"Noir c’est noir" (1966, adaptation de "Black is Black")
Son énergie sur scène est spectaculaire, avec des concerts agités, parfois chaotiques. Il se produit à l’Olympia et au Golf-Drouot, haut lieu du rock à Paris.
Vie personnelle et image publique
En 1965, il épouse Sylvie Vartan, autre star yéyé. Ensemble, ils forment un couple très médiatisé. Leur fils David Hallyday naîtra en 1966.
Johnny devient un symbole de rébellion mais aussi de romantisme, oscillant entre rock brutal et ballades mélancoliques.
1967–1968 : évolution artistique
Johnny commence à évoluer vers un son plus mature et plus rock. Il reprend "Hey Joe" de Hendrix, s’inspire du rock psychédélique.
Il participe aux débuts du rock plus engagé, et commence à prendre plus de contrôle sur son répertoire.
En 1968, dans un climat social tendu, il est moins en phase avec les mouvements contestataires, mais conserve sa popularité auprès du public.
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